Des récits pour enfants

Juriste de formation, Charles Perrault a tout d’abord bien travaillé en tant qu’établi aux commandes de complexes royaux. Il a commencé à réussir un statut littéraire vers 1660 avec quelques vers légers et aime la poésie et a mis dans le reste de son mode de vie pour promouvoir l’étude de la littérature et aussi l’art. En 1671, il est élu à l’Académie française, qui se divise rapidement avec le défi des Anciens comme des Modernes. Perrault a soutenu les Modernes, qui pensaient que, au fur et à mesure que la société évolue, la littérature grandit avec elle et que, par conséquent, la littérature historique est sans aucun doute beaucoup plus grossière et barbare que la littérature moderne. Son poème Le Siècle de Louis le Fantastique (1687; «L’âge de Louis le Grand») a placé ce genre d’écrivains actuels comme Molière et François de Malherbe plus haut que les auteurs classiques de la Grèce et de Rome. Son principal adversaire à cette controverse était Nicolas Boileau. La dépouille de Perrault était vraiment un jalon de la révolte finalement efficace contre les confins de votre coutume existante. Les comptes de fées de Perrault dans New mother Goose ont été publiés pour amuser ses enfants. Ils incluent «Little Hood de couleur rouge», «L’attractivité de l’endormissement», «Puss in Boots» et «Bluebeard», des types modernes de contes populaires à cinquante pour cent ignorés, que Perrault a raconté dans un design qui est certainement basique. et sans affectation. Si quelqu’un saute Jean de La Fontaine, qui que ce soit des Fables, même s’il a lu à travers le plus jeune, ne leur était pas destiné, la littérature française pour enfants commence d’un point de vue par les contes de fées classiques de Charles Perrault. Celles-ci étaient probablement destinées au salon plutôt qu’à la crèche, mais leur vitesse narrative et leur lucidité les ont félicité à la fois pour les enfants. Les contes de fées de sa moderne Mme d’Aulnoy, comme beaucoup d’autres fabriqués au XVIIe siècle et au tout début du XVIIIe siècle, ne sont guère réels. Ayant un charme watteau, ils stylisent à la cour, avec le Télémaque de François Fénelon, une conférence romancée sur la scolarité. Rousseau, comme cela continue d’être documenté, les performances réalisées font vraiment une différence. Émile a au moins attiré l’attention sur ce que pourrait être l’éducation. Cependant, l’impact sur la littérature pour enfants n’a pas été absolument libérateur. Son disciple, Mme de Genlis, a établi une expérience sévère contre le maquillage pour toute sorte; toutes les merveilles doivent être révélées rationnellement. Ses récits ont formé de jeunes enfants plus que ce qu’ils voulaient savoir, une circonstance qui l’a transformée en un type spécifique de père ou de mère. Pour être acceptable, Sainte-Beuve l’a nommée «la plus gracieuse et la plus galante des pédagogues». L’une de ses caractéristiques, la priggishness, a été énergiquement conçue par Arnaud Berquin dans l’Ami des enfants. Berquin a créé l’équivalent français de la morale bourgeoise anglaise concurrente. En effet, il a inconsciemment fait une littérature pour adultes pour cela frais, chargeant les dés en faveur des principes organisés par les mamans et les papas pour convenir aux enfants. Mais il faut s’abstenir de juger Berquin ou son successeur tout aussi moraliste Jean-Nicolas Bouilly par les exigences d’aujourd’hui. Les jeunes enfants les ont approuvés car ils ont été les plus efficaces à regarder accessibles; et l’hommage d’Anatole France dans Le Petit Pierre (1918) montre qu’ils doivent avoir exercé un certain attrait.